Direction Générale
Direction Générale
La Direction Générale est la structure organique qui exécute les décisions du Conseil d’Administration et assure la gestion journalière du Fonds. Elle exécute le budget, élabore les états financiers et dirige l’ensemble des services.
La Direction Générale est la structure organique qui exécute les décisions du Conseil d’Administration et assure la gestion journalière du Fonds. Elle exécute le budget, élabore les états financiers et dirige l’ensemble des services.
Composition
La Direction Générale du Fonds est assurée par un Directeur Général, assisté d’un Directeur Général Adjoint.
Bertin MUDIMU TSHISEKEDI
Directeur Général
Djena BASSIALA NLANDU
Directeur Général Adjoint
Mot du Directeur Général
Des opportunités d’exportation offertes à la RDC par les marchés chinois, indien, américain et européen constituent des leviers sur lesquels les efforts devront être concentrés pour la création des industries. L’avantage comparatif sur le plan économique et la transition écologique sont des atouts majeurs pour la RDC. C’est ainsi que le Fonds de Promotion de l’Industrie travaille selon la vision du Chef de l’État et la politique du Gouvernement.
Le FPI tient à contribuer significativement à la diversification de l’économie et à la création des chaînes de valeurs en finançant des unités de transformation. La réduction des importations des produits manufacturés, la création des emplois et l’accumulation des devises font partie de ma vision. J’entrevois, à travers le FPI, l’utilisation du Franc Congolais dans l’économie domestique grâce à une production locale de qualité qui remplacera progressivement et intelligemment les importations.
Le FPI devra aussi indiquer au Gouvernement la voie d’augmentation des réserves de change en dehors des industries extractives. L’une des options consiste à promouvoir les industries de différentes tailles dans les milieux ruraux avec les externalités positives associées à l’électrification et à l’accroissement des revenus des populations. C’est ce que j’appelle les effets d’entraînement de l’industrialisation du pays.
Ma présente vision se décline en deux phases dont la première consiste à produire des résultats tangibles dans un délai relativement court tandis que la deuxième vise des blocs d’activités structurantes à long terme.
La première phase prévoit l’optimisation efficace du FPI. Elle comprend quatre objectifs à savoir :
- L’amélioration des méthodes de travail avec la digitalisation pour plus de promptitude, de transparence et d’accessibilité aux données. A ce sujet, le lancement du schéma directeur d’informatique est l’illustration parfaite de ma volonté quant à ce.
- L’instauration des synergies institutionnelles pour la convergence des activités.
- La mise en place des mécanismes innovants de financement (levée de fonds) ainsi que la formation de l’expertise dans la conception et l’utilisation des outils d’ingénierie financière. Et l’implantation du FPI dans toutes les provinces à travers les maisons de l’industrie à créer. Ces objectifs exigent une communication stratégique.
La deuxième phase poursuit également quatre objectifs :
- La présence du FPI dans le Programme du Développement Local des 145 Territoires, le financement de la recherche appliquée, la substitution rationnelle des importations superflues par la production locale et la participation à la stratégie « export » de la RDC.
Je salue la Loi sur le Privilège du Trésor qui renforce les mécanismes de recouvrement des créances. Son application accroîtra les recettes. Il faut alors une gestion orthodoxe pour mettre le FPI à l’abri des appétits voraces et prédateurs. Hormis les recettes issues de la TPI, avec cette loi, le FPI dispose aujourd’hui d’un instrument et des moyens de contrainte. Je ne ménagerai aucun effort pour rétablir le FPI dans ses droits en récupérant tout ce qui lui ait dû.
Quant au financement des projets, 80 projets pour un total de USD 115.613.259 ont été financés en 2003 sur toute l’étendue du pays. Plusieurs d’entre eux ont connu un début de réalisation tandis que d’autres ont augmenté leurs capacités de production dans plusieurs secteurs d’activités, allant de l’agro-industrie, à la sous-traitance minière et à l’appui à la logistique. Comparée à l’année 2022 avec une enveloppe totale de financement de USD 50.350.662, 2003 a connu une augmentation de 129,61%, passant ainsi du simple au double des interventions du FPI.
Concernant la gestion du personnel, je me suis imposé la transparence et l’équité. La prime des performances bénéficie aujourd’hui à tous les agents contrairement à ce qui se passait hier. Nous travaillons sur les autres avantages sociaux et l’avancement en grades. Les perspectives sont bonnes.
Pour placer le FPI parmi les grands services pourvoyeurs des recettes, l’outil de gestion doit être réformé, le profil de chaque employé doit correspondre à son job description dans un esprit d’équipe tout en bannissant et en punissant tout comportement déviant.
Bertin MUDIMU TSHISEKEDI
Directeur Général
Composition
La Direction Générale du Fonds est assurée par un Directeur Général, assisté d’un Directeur Général Adjoint
Mot du Directeur Général
Des opportunités d’exportation offertes à la RDC par les marchés chinois, indien, américain et européen constituent des leviers sur lesquels les efforts devront être concentrés pour la création des industries. L’avantage comparatif sur le plan économique et la transition écologique sont des atouts majeurs pour la RDC. C’est ainsi que le Fonds de Promotion de l’Industrie travaille selon la vision du Chef de l’État et la politique du Gouvernement.
Le FPI tient à contribuer significativement à la diversification de l’économie et à la création des chaînes de valeurs en finançant des unités de transformation. La réduction des importations des produits manufacturés, la création des emplois et l’accumulation des devises font partie de ma vision. J’entrevois, à travers le FPI, l’utilisation du Franc Congolais dans l’économie domestique grâce à une production locale de qualité qui remplacera progressivement et intelligemment les importations.
Le FPI devra aussi indiquer au Gouvernement la voie d’augmentation des réserves de change en dehors des industries extractives. L’une des options consiste à promouvoir les industries de différentes tailles dans les milieux ruraux avec les externalités positives associées à l’électrification et à l’accroissement des revenus des populations. C’est ce que j’appelle les effets d’entraînement de l’industrialisation du pays.
Ma présente vision se décline en deux phases dont la première consiste à produire des résultats tangibles dans un délai relativement court tandis que la deuxième vise des blocs d’activités structurantes à long terme.
La première phase prévoit l’optimisation efficace du FPI. Elle comprend quatre objectifs à savoir :
- L’amélioration des méthodes de travail avec la digitalisation pour plus de promptitude, de transparence et d’accessibilité aux données. A ce sujet, le lancement du schéma directeur d’informatique est l’illustration parfaite de ma volonté quant à ce.
- L’instauration des synergies institutionnelles pour la convergence des activités.
- La mise en place des mécanismes innovants de financement (levée de fonds) ainsi que la formation de l’expertise dans la conception et l’utilisation des outils d’ingénierie financière. Et l’implantation du FPI dans toutes les provinces à travers les maisons de l’industrie à créer. Ces objectifs exigent une communication stratégique.
La deuxième phase poursuit également quatre objectifs :
- La présence du FPI dans le Programme du Développement Local des 145 Territoires, le financement de la recherche appliquée, la substitution rationnelle des importations superflues par la production locale et la participation à la stratégie « export » de la RDC.
Je salue la Loi sur le Privilège du Trésor qui renforce les mécanismes de recouvrement des créances. Son application accroîtra les recettes. Il faut alors une gestion orthodoxe pour mettre le FPI à l’abri des appétits voraces et prédateurs. Hormis les recettes issues de la TPI, avec cette loi, le FPI dispose aujourd’hui d’un instrument et des moyens de contrainte. Je ne ménagerai aucun effort pour rétablir le FPI dans ses droits en récupérant tout ce qui lui ait dû.
Quant au financement des projets, 80 projets pour un total de USD 115.613.259 ont été financés en 2003 sur toute l’étendue du pays. Plusieurs d’entre eux ont connu un début de réalisation tandis que d’autres ont augmenté leurs capacités de production dans plusieurs secteurs d’activités, allant de l’agro-industrie, à la sous-traitance minière et à l’appui à la logistique. Comparée à l’année 2022 avec une enveloppe totale de financement de USD 50.350.662, 2003 a connu une augmentation de 129,61%, passant ainsi du simple au double des interventions du FPI.
Concernant la gestion du personnel, je me suis imposé la transparence et l’équité. La prime des performances bénéficie aujourd’hui à tous les agents contrairement à ce qui se passait hier. Nous travaillons sur les autres avantages sociaux et l’avancement en grades. Les perspectives sont bonnes.
Pour placer le FPI parmi les grands services pourvoyeurs des recettes, l’outil de gestion doit être réformé, le profil de chaque employé doit correspondre à son job description dans un esprit d’équipe tout en bannissant et en punissant tout comportement déviant.
Bertin MUDIMU TSHISEKEDI
Directeur Général